Résumé :
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Conscient de ce que la culture passe aussi par la découverte de notre monde, il prit à loisir la route pour courir le globe : du Chili à la Thaïlande, des États-Unis à l'Union Soviétique, du Sri Lanka à l'Algérie, de la Chine au Mexique, on le vit partout.Opposé, on l'a dit, à l'esprit de coterie, son humanisme ouvert s'est souvent vu récompensé.Il compte aussi parmi les fondateurs de bien des institutions et revues : le Service du Livre Luxembourgeois, la galerie de la Glycine à Vresse-sur-Semois (créée avec Bonaventure Fieuillien et José Chaidron; Georges Bouillon y a présenté pendant... trente-trois ans une exposition mensuelle. Un chiffre mythique en quelque sorte...).Sa bibliographie révèle un éclectisme inépuisable. Georges Bouillon a poursuivi son activité d'écrivant - puisqu'il a réfuteé le titre d'écrivain - et d'éditeur en achevant par exemple, son journal ininterrompu qui, au total, comportera vingt et un volumes. Enfin, il ne faut pas oublier que Georges Bouillon a été membre étranger de l'Institut grand-ducal, président de la Régionale Luxembourg de Belgique-URSS et qu'il fut l'un des administrateurs des Iles de Paix fondées par le Père Pire.
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